01 fév. 2015
Le Musée Fabre
Hier
après-midi, je suis allée au Musée Fabre, parce que l’entrée est
gratuit le premier dimanche du mois. Je comptais me retrouver avec mes
copines là, mais elles y sont arrivées une heure avant que je sois
sortie de la maison, donc je ne me suis pas retrouvée avec elles que
jusqu’au début des salles de l’art moderne- l’art du vingtième siècle.
Elles avaient déjà fini leur tour quand je les ai trouvées. Ainsi, je
passais seule mon tour du musée, mais je ne le regrette pas. Le musée
est divisé en pièces, commençant par la peinture flamande, et terminant
par les tableaux modernes.
Je
connais un tout petit peu des tableaux flamands parce que j’ai assisté à
une exposition de Rembrandt au musée d’art de la Caroline du Nord en
décembre. Un des tableaux qui m’a frappée, il s’agit de la chasse d’un
sanglier par plusieurs chiens, un tableau titré Chasse au Sanglier d’Abraham
Hondius. Le détail de cette peinture était précis, mais l’aspect le
plus important qui la (?) rendait si vive, c’était que les yeux des
chiens et du sanglier étaient globuleux et émotifs. Les yeux m’ont
rappelés des yeux d’un être humain, parce qu’ils exprimaient la peur, la
férocité, la peine, la vengeance insatiable...je ne suis pas habituée à
penser aux sentiments des animaux, et donc de voir des émotions
humaines projetées aux bêtes, cela rend plus émouvant le tableau. Du
côté du sanglier, il y a la peine et la peur, celles d’être poursuit et
attaqué, et de la part des chiens, il y a la férocité et le meurtre, le
prix qu’il faut déchirer. Un des chiens est mort, et un autre à l’air de
savoir qu’il sera écrasé par le sabot du sanglier. Les autres sont
prêts à se jeter sur leur proie, sans autre pensée.
C’était
dans les pièces contenant les tableaux flamands où j’ai entendu une
voix américaine. Cette voix appartenait à un homme qui expliquait à son
amie les complexités des oeuvres, et je lui écoutait à distance, au
moins dans cette salle d’exposition. Il a remarquait que je lui
écoutait, et il a été étonné quand, après m’avoir demandée si j’ai
compris ce qu’il disait, j’ai répondu en la même langue, “oui.” Nous
avons conversé un peu, et il m’a dit qu’il était un Néerlandais qui
habitait en la Virginie, près de Washington, D.C. en fait. Il était en
train de passer un mois de vacances en France, et il était à Montpellier
avec son amie russe, souhaitant qu’il fasse plus beau et que le vent
cesse.
428 mots
Jeudi (5 fév. 2015) je suis allée au Musée Fabre pour voir l'exposition titrée "François-Xavier n'est pas couché," une soirée au musée gratuit pour les étudiants de Montpellier. Je me suis retrouvée avec ma nouvelle amie Camille et ses copains. Cette nuit au musée était spéciale parce que les étudiants aux licences professionels y ont présenté leurs oeuvres d'art, leurs talents de musique, et leurs danses intérpretives. J'ai mieux aimé la danse dans la salle qui contient les oeuvres de Fabre lui-même. Quatres danseurs ont répété une scène appelée "M..."1, puis 2, puis 3...
Au début, il n'y avait qu'un seul danseur, qui bougeait lentement au commencement mais tout à un coup s'est lancé à se rémuer. La seconde danse, il y avait trois danseurs, deux hommes et une femme. Un seul homme a commencé la danse, et il semblait qu'il suppliait à la femme. Il caressait le visage de l'autre homme, et puis les deux bougeaient ensemble, en symmétrie.
Jeudi (5 fév. 2015) je suis allée au Musée Fabre pour voir l'exposition titrée "François-Xavier n'est pas couché," une soirée au musée gratuit pour les étudiants de Montpellier. Je me suis retrouvée avec ma nouvelle amie Camille et ses copains. Cette nuit au musée était spéciale parce que les étudiants aux licences professionels y ont présenté leurs oeuvres d'art, leurs talents de musique, et leurs danses intérpretives. J'ai mieux aimé la danse dans la salle qui contient les oeuvres de Fabre lui-même. Quatres danseurs ont répété une scène appelée "M..."1, puis 2, puis 3...
Au début, il n'y avait qu'un seul danseur, qui bougeait lentement au commencement mais tout à un coup s'est lancé à se rémuer. La seconde danse, il y avait trois danseurs, deux hommes et une femme. Un seul homme a commencé la danse, et il semblait qu'il suppliait à la femme. Il caressait le visage de l'autre homme, et puis les deux bougeaient ensemble, en symmétrie.
Chanson: "le valse" par Louise Attaque |
Merci d'avoir partagé les vidéos et les photos! Je trouve cette initiative pour les étudiants tout à fait génial. Super ambiance pour visiter le musée et en profiter.
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