Thursday, April 2, 2015

Passeport Culturel: Un peu de Paris (le Louvre)

27-29 mars 2015

Ce weekend passé je suis allée à Paris avec Renata et Sara. Nous avons voyagé séparément parce que cela nous a mieux convenues. C'est la première fois que j'ai tenté de voyager seule, et en fait c'était assez facile.

Le Louvre était meilleur que j'en ai souvenu--la dernière fois que j'y suis allée, avant ce weekend, j'avais neuf ans et mal aux pieds... La Joconde m'a déçue et ce n'était qu'un musée additionnel. Cette fois, à l'âge de 20 ans, j'ai beaucoup plus apprécié le musée. Les expositions d'art qui m'ont plu le plus, ce sont celles des peuples indigènes et l'art islamique.

Évidemment, ce qui m'intéresse n'est pas les tableaux italiens, ni les "madones" du Moyen Âge, mais les formes d'art moins répandues, autrement dites "exotiques." Il y avait une tête de l'Île de Paques dont Renata, Sara et moi nous sommes moquées (nous avons imité son expression), et plein de masques inuits de l'Alaska. J'ai aussi aimé un chien fait de bois et des clous de fer. Ce chien, si je ne me trompe pas, a été fait au Congo. Beaucoup des oeuvres d'art africain dans cette salle étaient des sculptures de figures...pas sexualisées, mais avec la simplicité de quelques unes des sculptures, le sexe du personnage était mis en évidence.

L'art islamique m'intrigue parce que c'est plus vaste que le royaume auquel on penserait ordinairement. Le Moyen Orient ne suffit pas en ce cas. Il faut inclure l'Iran, la Turquie, et l'Inde aussi. J'ai pris plusieurs photos de cette exposition, car elle m'a bien piquée l'intérêt. La calligraphie arabe se retrouvait dans la majorité des oeuvres anciennes, surtout dans les dessins des portes et des poteries. Il y avait des planches taillées en prières, le nom de Dieu, du prophète Mohammed, d'un roi...Ce que j'aime des arts de l'islam, c'est le manque d'iconoclasme, c'ést-à-dire des images des personnages religieux (par rapport à la multitude de tableaux de la Notre Dame et du Jésus-Christ); à sa place ils ont orné leurs objets de motifs des étoiles et de l'écriture arabe.

L'art islamique que j'ai vu m'a fait penser au cours du cinéma de Bollywood que j'ai suivi pendant ma première année à UNC. Il y avait deux ou trois films que j'ai regardé en particulier que cette exposition m'a rappelée. Par exemple, dans le film Jodhaa Akbar, il y a une scène où les images des oiseaux, notamment du paon, ont été surveillées par la caméra dans le palais de l'empéreur moghol. Ces mêmes images se trouvaient dans les mosaïques au Louvre. Enfin cette exposition m'a fait réconsidérer la possibilité de poursuivre un mineur en études asiatiques à UNC parce que je m'y intéresse toujours.

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Wednesday, April 1, 2015

Passeport Culturel: Le Planetarium et le Végapolis

21 mars 2015

Ce jour-là, j'ai décidé de profiter de ce que Montpellier offre à bas prix pour les étudiants. Avec Julia, Jackson, Renata, et Samantha, je suis allée à Odysseum pour assister à une séance sous les étoiles. Cet après-midi-là, le sujet de ce spectacle était les "Climats extrêmes du système solaire." La salle de séance était très agréable. Les sièges allongés m'ont bien plu--c'était l'angle parfait pour regarder l'écran sans se faire mal au cou, tellement confortable que je me serais endormie si l'animateur du spectacle n'était pas au courant (j'étais vachement fatiguée le samedi--je suis sortie la veille et je me suis couchée plus tard que ce qui m'est normale quand je sors; il n'y avait que 15 personnes dans la salle, dont la moitié étaient enfants, donc le sommeil était inpensable). Les lumières coulourées dans le couloir m'a rappelée les étoiles (leur but). L'histoire des "climats extrêmes" était plus stimulant que j'avais prévue. Une des lunes de Saturne, par exemple, est ruisselée de fleuves, de montagnes...La géographie de cette lune fait penser à la terre, excepté cet détail insignifiant: la liquide qui coule dans les fleuves est de pur métal.

La programmation du planétarium n'était pas idéelle, mais faisable quand même. Après la fin du spectacle, Julia, Renata, Sam, et moi avons décidé de patiner au Végapolis, où il ne nous est resté que 75 minutes avant la fermeture.

Je peux même dire que c'est la première fois que je suis tombée sur la glace en montant un relief. La grande patinoire était fermée, mais la piste était toujours ouverte. C'est là où se trouve des reliefs, une toute petite colline et deux cèrcles partiellement clos.  Il y avait beaucoup de patineurs au Végapolis l'après-midi, étant donné qu'il pleuve, dont la majorité étaient des adolescents et des gamins. Tout était en désordre, à mon avis. Chez moi, on n'a pas le droit d'utiliser le portable sur la glace, ni le droit de passer dans la direction opposée du reste du monde patinant; par contre, ici tous les jeunes avaient leurs portables avec, prenant des SnapChats et changeant directions sans logique, faisant tomber plusieurs personnes (y compris Renata). À la fin de cette activité, il y avait des étangs d'eau au milieu de la glace et la glace a été hachée comme tout. Les patins, je ne les ai pas trouvés aussi tranchant que ce qui est nécessaire pour bien glisser. J'étais contente de faire du patin à glace, mais je ne voudrais plus en faire à Végapolis.

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Nouveautés: J'ai fait du progrès!!!

J'ai parlé avec plusieurs Français cette semaine.

Lundi, je suis allée à la nuit de trivia au bar Robinhood avec Julia, Martina, Emi, et son amie Miriam. Deux mecs français nous a rejoints parce qu'ils n'ont pas eu une équipe. Ils nous ont expliquées certains phénomènes et specimens* de vocabulaire utiles pour des jeunes. Très agréables, ces types. Miriam aussi, très gentille.

Mardi, Martina et moi avons interviewé trois animateurs de radio pour notre projet des histoires vraies. Après cela, j'ai parlé et je me suis voire assise à côté d'une des personnes (elle s'appelle Alia) de mon cours de Hayao Miyazaki pour une séance d'un documentaire à Utopia. Nous nous sommes parlé des chaussures, du Japon, et de la pluie.

Je lui ai parlé après le cours mercedi. De plus, avec une autre fille dans tous mes cours à la fac je me suis plainte des grands mots qu'un de nos professeurs choisit employer au lieu des termes plus simples. À la fin de ma journée, j'ai rencontré par hasard dans le tram Stéphane, un des amis de Camille avec qui j'ai fait connaissance la semaine avant. Nous avons discuté des langues, des accents, et du fait que nous devrions passer plus de temps ensemble!

Jeudi j'ai interviewé six ou sept étudiants et j'ai conversé avec eux après. C'était magnifique! Par contre, ma question--"que savez-vous et que pensez-vous du quartier Mosson?" a fait pleurer la dernière personne à laquelle je l'ai posée. Je n'étais pas certaine mais il est possible que cet individu soit SDF. En tout cas j'étais gênée de l'avoir dérangé comme cela.

Maintenant, vu que j'en aie fait nombreuse, les interviews ne me posent plus de difficultés, surtout celles avec les étudiants de Paul Val.